Souvenir d'un maraudeur: [ OS]

Fin de la troisième année de notre survivant, qui sais tout au sujet de Sirius, se retrouve une dernière fois dans le bureau de son professeur de défances contre les forces du mal

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Le professeur Lupin avait demandé à Harry de la rejoindre dans son bureau à 10 heures pour lui faire ses adieux, mais aussi lui rendre sa carte et quelque chose de particulier en plus.
Lorsqu'il vit grâce à la carte qu'il était déjà devant son bureau, il l'invita à entrer. Sa voix était fatigué, preuve qu'il n'avait pas fermé l'œil de la nuit.

- Vous vouliez me voir professeur?

-Oui, je vais te rendre ceci, car je n'en ai plus besoin. Il lui tendit la carte du maraudeur après avoir prononcé un faible « méfait accompli ».

- Comment savez-vous l'utiliser?!

- C'est simple, je suis l'un des fondateurs, autrement dit, l'un des quatre maraudeur. C'était l'un des plus brillante idée de ton père.

D'un geste de la main, Lupin invita Harry à prendre place sur la chaise qui était devant son bureau, pendant que celui ci pris place face à lui.

- Ton père, ainsi que Sirius, ont toujours cherchés un moyen de pouvoir circuler librement dans le château, sans se faire prendre pas Rusard et surtout les nuits de pleins lune pour pouvoir m'accompagner.

Harry écoutait avec beaucoup d'intérêt son professeur, car il avait enfin la possibilité d'en savoir plus sur son père et son parrain dont il avait fait la découverte de l'existence la nuit passée.

- Pendant des semaines, nous avons étudiés touts les manuels de sortilèges que contient la bibliothèque et je peux te dire qu'il y a en vraiment beaucoup, ainsi que ceux qui permettent de créer des cartes. Dans l'histoire de Poudlard, il y avait aussi beaucoup d'information sur la structure du château. Après plusieurs mois de recherche, Sirius avait enfin fait le dessin qui allait représenter la carte des maraudeurs, et James lui avait mis tout les sortilèges de protection qu'il lui semblait utile, mais aussi certain de son invention.

- Et pour les passages secret?

- Certain ont été découvert grâce à l'histoire de Poudlard, qui avait servis par le passer, mais beaucoup d'autre ont été découvert par le plus pur des hasards quand nous tentions d'échapper à Rusard.

- Pourquoi Rogue n'a t-il pas pu la lit?!

- Le professeur Rogue, Harry

- Désolé! Dit-il sans conviction

- Et bien, parce que nous avions placé un sortilège d'emprunte, plus précisément celle de nos baguettes, donc tout inconnus qui l'avait en sa possession en forçait la lecture se voyait automatiquement insulter.

Harry pouffa légèrement de rire en repensant à ce qu'il avait lu à Rogue, lorsque celui ci lui en avait fait la demande, ce qui lui valu un haussement de sourcil de la part de Lupin.

- Comment on fait Fred et George pour la lire?!

- Et bien, je dirais que si quelqu'un désirait sincèrement une solution pour contourner le règlement et sortir en douce du château et bien je dirais qu'il s'agit d'un petit cadeau de la part de James et Sirius.

- Pourquoi la carte était dans le bureau de Rusard?

- Je ne sais plus et je ne préfère ne pas y repensé

Harry n'insista plus sur ce sujet, mais un autre l'intéressait beaucoup, celui de leur nom.

- D'où vienne les quartes noms inscrit dessus?

- Parce que nous étions des animagus, enfin James, Sirius et Pettigrow.

- Des quoi?

- Des animagus, ou sorcier ayant la capacité de se changer en animal de leur choix. Ton père était un cerf et son nom de maraudeur était Cornedru, pour Sirius, le chien donc patmol, et pour Pettigrow et bien le rat, il faut dire qu'il n'a jamais été très fort en magie, voilà pourquoi son animal était si petit, d'où Queudver et moi et bien étant loup garou, ont à pris Lunard à cause de la lune.

Lupin fit une petit pose avant de reprendre.

- Je te préviens de suite Harry, devenir animagus n'est pas à la porté de tout le monde, et c'est une transformation des plus dur et des plus dangereuse, dont tu oublis ça!!

- Mais pourtant vous y êtes arrivés!!

Il n'y a pas de mais qui tienne et si j'apprends que tu as désobéit, sache que je sévirais. La voix de Rémus était ferme et clair et prouvait très bien à Harry qu'il n'y avait aucune possibilité de marchandage, et il vit le jeune sorcier baisser la tête signe qu'il s avouait vaincue, pour l'instant en tout cas

- Vous avez une idée sur le lieu où pourrait se trouver Sirius?

- Aucune, mais le connaissant, c'est un lieu très bien caché, mais je ne serais pas étonné le moins du monde que Dumbledore le force à ne pas partir à la recherche de Pettigrow.

Harry était heureux de savoir son parrain à l'abri du ministère de la magie et donc des détraqueurs.
Une autre question trottait dans l'esprit d' Harry, la rencontre de ses parents

- Dites voir? Comment se sont rencontrés mes parents?!

- Je pense qu'eux seuls peuvent te répondre.

- Mais comment? Ils sont pourtant..

Lupin lui coupa alors la parole

- Oui ils sont morts physiquement, c'est vrai, mais pas dans ton cœur et ils ont laissés une part de leur âmes et de leur cœurs dans ceci.

Lupin sorti d'un tiroirs de son bureau, deux carnets de cuir noirs très abimés donc les pages s'étaient avec le temps jaunis et les tendit à Harry.

- Quand tes parents ont compris que leur fin était proche, ils m'ont demandés de venir la veille du jour qui allait être celui de leur mort et m'ont confiés leur journaux intimes respectifs. Ils contiennent tout leur souvenirs de Poudlard et bien d'autre encore. Je ne les ai jamais ouvert, mais j'ai une petite idée sur le contenu de celui de ton père. Dit-il amusé.

Harry pris le deux journaux avait soin, de peur qu'il ne se brise lorsqu'il les toucherait.

- Merci beaucoup professeur.

- De rien, maintenant tu devrais y aller, car il est l'heure de déjeuner.

Harry se leva et Lupin le serra brièvement dans ses bras.

- Prend soin de toi Harry.

- Vous aussi professeur.

Lupin regarda le jeune sorcier sortir de son bureau et deux larmes coulèrent de ses joues. Repenser à tout cela le rendait nostalgique et triste.

*Lily et James, soyez fière de votre fils, c'est un garçon vraiment très bien tout votre portraits surtout le tien James* pensa t-il avec quelques larmes coulant sur son visage